Première réunion de l’année, après-midi détente, en compagnie de nos amis de Coucy.
Après les habituels vœux de bonne année et de bonne santé, séance vidéo où furent retracées les activités du deuxième semestre, marches, sorties, voyage, avant de passer quelques jeux amusants sous forme de diaporamas, puis ce fut, après avoir dégusté la traditionnelle galette, l’élection des reines et rois d’un jour.
Visite bien locale et pourtant une découverte pour tous, en effet, ce jour, nous avons rendez-vous avec les autorités militaires du camp de Sissonne qui aimablement ont consenti à nous faire découvrir "leur bijou" : le CENZUB (Centre d’entraînement en zone urbaine).
C’est en compagnie du commandant Ségui qu’une cinquantaine d’adhérents découvrent la ville nouvelle construite depuis peu, au beau milieu du camp, véritable ville avec ses maisons, ses immeubles, ses zones commerciale et industrielle servant à la formation des militaires dans cette nouvelle forme de combat qu’est la guérilla de rue.
Un grand merci au commandant Segui pour cette visite.
C’est le rendez-vous statutaire de l’année, la tenue de notre Assemblée Générale, comme de coutume c’est par un petit mot que le président remercie les personnes présentes, puis c'est la secrétaire qui présente le rapport d‘activités bien chargé de l’année écoulée.
Le trésorier fait de même pour le rapport financier toujours très stable d’année en année, avant de rendre la parole au président qui présente les projets 2012.
Puis tout ce petit monde est appelé à mettre les pieds sous la table pour savourer le menu proposé par un restaurateur local. En attendant l’arrivée des plats, histoires et jeux nous font patienter dans une joyeuse ambiance.
Nous sommes étonnés que déjà la nuit s’est invitée.
hé! oui le temps passe vite.
Toujours garants des bonnes habitudes après nos jeux, un peu écourtés il est vrai, nous nous devons de fêter la chandeleur autour des crêpes et confitures que bon nombre de dames ont confectionnées, le tout accompagné d’un bon verre de cidre.
Direction Reims, plus précisément le Centre des Congrès pour y assister à un spectacle de ballet, oh! combien célèbre,"le Lac des Cygnes" de Tchaikovsky interprété par la troupe du "Moscou théâtre Ballet" composée de près de quarante danseurs et danseuses.
Spectacle de toute beauté !...
Bonne idée de sortie à renouveler
C’est à notre tour de rendre visite à nos amis de Coucy-le-Château pour fêter ensemble la chandeleur. Une vingtaine de personnes a fait le déplacement.
Merci à eux.
Visite d’un lieu bien connu, mais que peu d’entre nous ont eu la chance de découvrir : Le palais du Luxembourg, siège du Sénat.
Les séances parlementaires étant interrompues en raison des élections présidentielles, le sénateur Yves Daudigny a chargé sa secrétaire de nous accompagner à la découverte de ce magnifique palais.
C’est avec une petite bise froide que nous entrons dans la cour d’honneur en compagnie de notre guide. Après les présentations, elle nous trace l’historique du lieu qui, durant les deux premiers siècles de sa construction, a bien souvent changé de propriétaires : fils, frères, sœurs des souverains successifs (avant de devenir une prison durant la terreur).
Construit par Marie de Médicis au début du 17ème siècle, il devient propriété d’état durant la révolution. C’est en 1799 que le Sénat, nouvelle Haute Assemblée Constitutive, s’y installe et y siège encore. Nous avons admiré la grande galerie du trône, la salle des conférences, divers salons desservis par la salle des bustes et bien évidemment l’hémicycle.
Au retour, seuls les plus curieux ont pu jeter un coup d’œil à la bibliothèque avant de prendre une photo de groupe sur le magnifique escalier d’honneur.
Après un rapide mais copieux déjeuner dans un restaurant voisin, direction Sèvres, célèbre pour sa cité de la Céramique.
La visite des ateliers nous fait découvrir les processus de fabrication de la porcelaine, mondialement connue.
Le soir, il nous reste suffisamment de temps pour admirer toutes ces pièces uniques, dans les salles d’exposition. Des œuvres d'art, mais pas pour toutes les bourses !
Une journée menée tambour battant mais qui a satisfait tout le monde.
Cette fois c’est à Gauchy, que nous nous sommes donnés rendez-vous. Nous profitons des journées du "Printemps de l’Industrie" organisées par le Conseil Régional pour découvrir une entreprise de notre région.
Cette année notre choix s’est porté sur l’imprimerie "la Couronne" leader mondial de la fabrication d’enveloppes et de pochettes.
Après un regard sur l'historique de cette société qui a su s’adapter aux dures réalités du marché, nous découvrons une immense usine bâtie sur 14 ha. D'énormes rouleaux de papiers alimentent d'impressionnantes lignes de production dans une ambiance bruyante. Un peu plus loin des enveloppes prêtes à l’emploi défilent à une vitesse vertigineuse.
Les visites, ça creuse, et c’est dans une cafétéria voisine que chacun a pu reprendre des forces.
L'après midi est consacrée à la visite du Palais Fervaque de Saint-Quentin. C’est sous un soleil de plomb, assis sur les marches de l'entrée, que notre guide nous a conté avec force détails, l’origine et la reconstruction de cette imposante bâtisse au cœur de la ville. Mais il est vrai que la visite ne se résume qu'à la grande salle.
Etant proches de l'hôtel de ville nous sommes allés faire des photos de cet édifice.
Après deux ans de succès ,on s'est retrouvé nombreux au bowling de Laon.
Sitôt le repas terminé,nous nous sommes chaussés afin d'accéder aux pistes. Depuis l'année dernière les progrés ne sont pas flagrants et les deux « caniveaux », appelés dalots, gouttières ou rigoles ont souvent vu une boule.
Mais ce qui est sûr c'est que personne n'a vu passer le temps.
Quelle chance ! le soleil absent depuis plus d’une semaine, nous accompagne à notre rendez-vous de ce matin, pas généreux c’est vrai mais présent, au marais d’Isle. Comme convenu deux guides nous attendaient, l’un pour emmener les marcheurs à la découverte de la faune et de la flore en longeant les rives du marais, l’autre en barque, plus précisément en « bacôve » pour y découvrir la même chose mais sur l’eau.
L’après midi le rendez-vous était au cœur de la ville, devant la basilique. Le groupe se divisa en deux équipes, l’une prenant la direction des souterrains,
Si pour quelques uns d’entre nous l’hôtel de ville était une redécouverte, pour bon nombre c’était une première, ébahi devant l'architecture du lieu ainsi que dans la salle du conseil, quant aux souterrains nous fûmes tous impressionnés par cette longue trappe qui s’ouvre telle la caverne d’ Ali Baba au milieu du boulevard et nous voilà partis en reconnaissance de ces divers passages construits au fil des siècles, l’architecture rencontrée en apportant la preuve.
C’est deux heures et demie plus tard que nous remercions nos guides pour leur prestation non sans leur demander le chemin de notre prochain rendez vous.
Le musée du touage à Riqueval : Nous découvrons un canal souterrain de près de six kilomètres permettant le passage des péniches. Le toueur est un remorqueur entraîné par des moteurs électriques se tractant à l’aide d’une énorme chaîne déposée au fond du canal lui permettant de remorquer jusqu'à cinquante péniches à la queue leu leu dans le tunnel, évitant ainsi les émanations de gaz d'échappement des moteurs.
Une vidéo nous a permis de voir ces toueurs à l'époque où le passage des péniches était important, car bon nombre de transports se faisaient par voie fluviale.
Aujourd'hui ce ne sont plus que quelques péniches de petit tonnage mais surtout les bateaux de plaisance qui continuent à emprunter cette voie.
Pour terminer la visite c'est dans les entrailles d'un toueur désaffecté que nous avons pu découvrir cette mécanique construite deux siècles plus tôt.
C'est à une heure tardive, après une dure journée pour certains, car menée tambour battant que nous nous sommes séparés pour le retour, satisfaits et prêts à repartir.
le 12 juin c'est au restaurant "le forgeron" à Mondrepuis près de nos partenaires d'Etréaupont que s'est déroulée notre Assemblée générale départementale, avec au programme l'élection d'un président.
Après le traditionnel mot d'accueil et la présentation des différents rapports, activités, financier et projets, et avant de passer au vote, Renel Leroy, revient sur la difficulté de former le bureau.
Une réunion du conseil sera programmée à la fin du mois.
Les discussions ayant creusé les estomacs, c'est dans la même salle que l'assemblée s'installe pour un déjeuner thiérachien. Le café terminé, nous prenons la route de Vervins pour la visite de l'imprimerie du journal "le démocrate de l'Aisne."
Quelle surprise en entrant ! Nous sommes loin des ordinateurs et des machines "offset", nous sommes dans un décor début XXème siècle, saisis par l'odeur de l'encre, du plomb et par l'ancienneté des machines. Ce quotidien créé en 1906, est aujourd'hui un hebdomadaire dont la méthode de fabrication est inchangée : lignes de plomb réalisées par le linotypiste sur une machine de 1936.
C’est une sorte de grosse machine à écrire qui fabrique les lignes de plomb qui composent les articles du journal, lignes en blocs calés dans des cadres, des matrices à imprimer.
Puis c'est le montage des pages, une par une. Dominique, linotypiste, et Serge, typographe et imprimeur, sont les derniers gardiens de ce savoir-faire ancien.
Et çà roule !
Bien qu'à l'âge de la retraite, souhaitons que leur vocation perdurera le plus longtemps possible pour que cet outil puisse au moins rester en état de marche et perpétuer le souvenir des métiers anciens et de l'évolution fulgurante dans le domaine de l'imprimerie.
Une visite à recommander .
Rendez-vous sur place à 10h30 pour une visite guidée du site.
Après un parcours en autocar depuis Reims, une première marche dans le métro vers le Parc de Belleville à l’est de Paris.
Le Parc de Belleville- Beau panorama puis balade et pauses.
La Place des Vosges sous le soleil.
Au bord du Port de plaisance de Paris.
Il fait très chaud dans l’île St Louis.
Passage vers l’île de la Cité. Les cadenas.
On quitte l’île de la Cité pour le square Viviani rive gauche. Une pause est nécessaire.
On retrouve l’île de la Cité. Place Dauphine construite, comme la Place des Vosges, grâce à Henri IV.
Tiens justement le voilà le bon roi.
Le square du Vert galant.
Bientôt on va prendre le Pont des Arts pour retrouver la rive droite. Un petit tour au Palais royal puis le car qui nous attend Avenue de l’Opéra.
Comme disent les enfants, fatigués mais contents.
Pour notre marche du mercredi, nous nous expatrions un peu, direction Asfeld dans les Ardennes, profitant du soleil radieux.
Au programme, balade le long du canal latéral à l'Aisne avec à la suite, visite de l'église
Car c'est l'une des plus étranges de France, de style baroque. Elle est composée d'une rotonde pentagonale formant le chœur, d'un vestibule formant la nef qui donne sur un porche entouré d'une colonnade supportant le clocher. le plan d'ensemble évoque la forme d'un miroir à main ou d'une viole.
L’architecture est remarquable par ses formes curvilignes, particulièrement la partie principale d’un dessin très étudié, avec son architrave s’incurvant dans le sens inverse des murs des chapelles.
Ces chapelles sont régulièrement réparties et desservies par une petite galerie à mi-hauteur.
(à compléter)
C'est une quinzaine de personnes qui se sont rendues au pique-nique inter-club organisé cette année par nos amis de Coucy.
Après un buffet très copieux et convivial chacun a pu s'adonner à des activités, tels, jeux de cartes, scrabbles, échecs ou encore balade dans Coucy avant la pluie.
Une journée agréable en somme.
"La Veuve joyeuse", opérette viennoise en 3 actes de Franz Lehàr. La première, créée en Allemand le 30 décembre 1905 à Vienne, la version française le 28 avril 1909 au théâtre Apollo à Paris.
Intrigues, raison d'Etat pour éviter la banqueroute de la Marsovie - Etat imaginaire vaguement slave - jalousies, derrière la légèreté apparente se déroule un vrai drame, mais qui sera heureusement résolu tant pour les amoureux que pour la Marsovie: tout est bien qui finit bien!
Oeuvre très populaire, La Veuve joyeuse a été jouée plus de 300.000 fois entre sa création en 1905 et la mort du compositeur en 1948. Son succès ne s'est pas démenti depuis, et il est certain que nous connaissons tous le duo "Heure exquise" et le septuor "Ah les femmmes, femmes, femmes " et bien d'autres.
Il faut rendre hommage à l'Opéra de Reims, qui est l'une des trop rares grandes maisons d'Opéra à programmer encore le répertoire d'Opérette dans sa saison.
La mise en scène classique, les beaux décors et les costumes colorés nous ont offert de belles images correspondant à la musique élégante de Lehàr.
Nous avons passé 3 heures de bons moments !
Pour éviter la fuite à l'étranger de la fortune d'une richissime belle veuve, une intrigue visant à organiser son mariage avec un compatriote est organisée par l'ambassadeur de Marsovie. L'heureux élu est l'amour de jeunesse de la jolie héritière. Le temps a passé mais l'amour renaîtra.
À Paris, à l'hôtel de l'ambassade de Marsovie, une belle fête est organisée pour l'anniversaire du Prince régnant. L'ambassadeur, le baron Mirko Zeta, après avoir porté un toast, s'inquiète de sa femme, la belle Valencienne. Elle bavarde « en toute innocence » avec Camille de Roussillon qui lui déclare sa flamme, mais elle résiste. Apparaît la jeune et belle veuve du banquier de la cour, Missia Palmieri. Le comte Danilo Danilowitsch, revenant de chez Maxim's, est pressenti par raison d'État pour devenir l'époux de la belle et riche veuve. Danilo fait la sourde oreille car jadis, sur refus de son père, il n'avait pu épouser Missia, alors modeste fille du peuple.
(pour essuyer une larme)
Bien qu'à la retraite, une trentaine d'adhérents mêlés de près ou de loin à l'entreprise ont à cœur de découvrir le tissu industriel qui nous entoure
La société SODELEG nous accueille, entreprise agro-alimentaire leader européen dans sa spécificité: l'oignon.
Implantée il y a moins de trente ans dans la région, cette entreprise s'est spécialisée dans la déshydratation des oignons, permettant à plus de 120 planteurs locaux de se diversifier dans leurs cultures en mettant à disposition plus de 1700 hectares d'oignons jaunes et blancs représentant 80 000 T de produit.
Après une visite de plus de deux heures, notre président Guy Magnier remercie nos hôtes au nom du groupe pour leur amabilité, la qualité de leurs explications, montrant ainsi leur attachement à leur outil de travail.
Court arrêt sortie 14, aire de Saulces-Monclin-Faissault pour découvrir WOINIC, le plus grand sanglier du monde.
Nous poursuivons vers Charleville-Mézières où nous découvrons la statue de Charles de Gonzague, fondateur de Charleville.
La viste de la place Ducale nous amène au Musée de l'Ardenne.
Après quelques 22 km, nous arrivons à Rimogne pour déjeuner dans la cantine municipale qui nous est généreusement prêtée. Nous visitons ensuite la "Maison de l'Ardoise" où nous découvrons la vie des mineurs et les conditions difficiles de l'extraction de l'ardoise des profondeurs de la terre.
Départ pour Rocroi pour une visite guidée de la ville et des fortifications à la "Vauban".
Retour pour Sissonne après une journée bien remplie.
Nouvelle visite d'entreprise agroalimentaire, cette fois c'est à la sucrerie de Bazancourt à une quinzaine de kilomètres de REIMS que nous nous rendons. Arrivés à proximité, nous sommes surpris par ce qui nous semble être un énorme échafaudage installé sur une imposante surface. Renseignement pris auprès de nos hôtes, il s'agit de leur futur bâtiment de stockage de produits finis, qui sera entièrement palettisé avec des automates.
Après les présentations, Monsieur Lajole, notre guide nous fait découvrir en salle l'historique de l'entreprise. Sa particularité : Être une Coopérative, créée à l'origine par une poignée d'agriculteurs qui a su s'adapter, se diversifier au fil du temps pour devenir aujourd'hui un nom : " Cristal Union ". C'est une entreprise incontournable dans son domaine : le sucre.
Puis Mr Lajole nous fait découvrir en images les différentes étapes de la transformation de la betterave avant d'aboutir au produit fini : Le sucre.
C'est équipés d'audiophone, de casque et de vestes que nous nous dirigeons vers les fosses de réception.
Inlassablement, les camions arrivent, jour et nuit, dimanche et fête, pour déverser leur chargement, plus de 25 000T jour, pendant prés de quatre mois
Chaque camion est identifié, pesé. Trois échantillons du contenu sont prélevés, analysés, afin de déterminer la qualité et les quantités livrées par chaque planteur.
Les betteraves sont ensuite déversées sans une fosse et entrainées par d'immenses tapis vers les lavoirs. Ce sont d'énormes cylindres tournants munis d'ailettes pour permettre un brassage énergique dans un flux de jets d'eauafin de les débarrasser de toute impuretés (terre, cailloux et éventuellement des ferrailles, voir même des obus). Suit l'entrée dans l'usine.
Un coupe-racines va réduire les betteraves en cossettes Morceau de betterave à sucre ou de racine de chicorée en forme de lamelle en V pour augmenter la surface d'échange., afin de mieux en extraire le jus avant d'être envoyé dans le diffuseur.
le diffuseur est un long cylindre tournant où circulent en sens opposé les cossettes et une eau chaude. Au fur et à mesure de son cheminement l'eau se charge en sucre pour devenir un jus sucré qui sera envoyé dans une suite de cuves de décantation et de filtrage. Il va se clarifier par l'adjonction d'un lait de chaux qui entrainera toutes les impuretés. A ce stade, les cossettes, débarrassées de leur sucre, deviennent un sous-produit. La pulpe retournera chez les agriculteurs pour la consommation animale.
Notre jus va continuer à se concentrer en passant par une nouvelle succession de chaudières appelées caisses d'évaporation afin d'obtenir une sursaturation. Le sirop va terminer son chemin vers les essoreuses où, sous l'effet de la force centrifuge, les cristaux de sucre seront séparés du jus. Un dernier lavage permettra de passer du sucre roux au produit fini : le sucre blanc cristallisé. Le jus restant, appelé mélasse sera alors envoyé à la distillerie voisine.
A ce stade le sucre est chaud et doit encore transiter vers un système de séchage sur tapis avant d'être stocké dans ces immenses tours métalliques que nous avont découvert dès notre arrivée. Ce n'est qu'en inter-campagne qu'il sera repris et conditionné suivant le besoin de chaque client, cristallisé, en vrac (par camion) ou en sachets de toutes contenances, en morceaux ou en poudre.
Une remarque : Compte-tenu des volumes travaillés en très peu de temps, on ne rencontre que peu de personnel, l'automatisme est passé par là. C'est dans les salles de contrôle ou dans les différents laboratoires qui suivent le produit que l'on trouve le plus de monde.
C'est à la nuit tombante, après plus de trois heures de découvertes sur un site de plus de vingt hectares que nous avons rendu notre équipement. Après quelques questions complémentaires le président remercie notre hôte et souhaite un bon retour à chacun, non sans avoir admiré dans la salle une réplique de la cathédrale de Reims et devinez en quoi ? En sucre évidemment !
Au programme, départ en car vers 15h30 pour un diner musical suivi d'un spectacle de plus de deux heures.
Ce fut un voyage authentique au cœur de la tradition Gipsy où musique et costumes enivrèrent le public.