Vingt d'entre nous ont profité de ce spectacle désopilant.
Après les jeux, les crêpes !
Merci à nos amis de Coucy-le-Château de nous avoir rejoint.
Après un excellent repas ...
Place au jeu !
Il est 8 Heures, et nous sommes 47 adhérents prêts pour une escapade rémoise, avec la compagnie de transport ADVANTOUR
Elle a donc presque 260 ans d’existence. Cette fabrique est surtout réputée pour la fabrication du Biscuit Rose de REIMS. C'est le biscuit emblématique pour accompagner le nectar marnais : le Champagne.
Elle est composée d’un Directeur, 4 Commerciaux et 80 personnes à la fabrication et au conditionnement. Le travail se fait en 2 équipes 5h/13h et 13h/21h du lundi au vendredi.
Elle s’est diversifiée dans la production : Macaron, biscuit de Reims(ex REM), Charles VII nature et chocolaté, pain d’épices, nonnette etc...
Après un petit film de présentation de l'entreprise, nous avons eu droit à une petite dégustation de divers produits.
C'est depuis un couloir à l'étage que nous surplombons les ateliers.
Notre visite se termine par le point de vente où nous avons tous empli nos sacs à l’effigie de la maison.
Il est 10h30 et nous prenons le chemin du "MUSEE DE L’AUTOMOBILE" .
Le Maire de Reims, Monsieur Jean FALALA, propose à Monsieur Philippe CHARBONNEAUX, fondateur du Musée de l’Automobile, les locaux d’une ancienne usine désaffectée située à quelques tours de roue de la cathédrale et aux pieds des grandes maisons de champagne.
Après quelques déboires, c’est Monsieur Didier CARAYON qui prend la direction de ce Musée avec seulement une trentaine de voitures.
Le Centre Historique de l’Automobile Française ouvre au public en mai 1999. Le nombre de véhicules est insuffisant pour satisfaire les visiteurs. Il est donc proposé aux collectionneurs de garer leur automobile, ce qui porte à 160 le nombre de véhicules présentés chaque été.
A ce jour 250 véhicules sont exposés.
La figure de proue de ce musée est une voiture de 1908, fabriquée par SCAR, Société de Construction Automobile de Reims.
Nous faisons le tour avec toutes les explications des origines, des marques, les années etc...
Les souvenirs reviennent à chacun, retrouvant une SIMCA 1000, une R12, une 404 et encore bien d’autres que nous ne pouvons citer. La liste serait bien longue. Egalement véhicules publicitaires, véhicules de pompiers, vélos, mobylettes, motos.
Nous quittons avec regret, car il est sûr que nous n’avons pas tout vu.
Il est 13h, les estomacs se font sentir. Rendez-vous au Flunch pour la restauration.
Vers 14h30, nous nous dirigeons vers le PLANETARIUM où nous avons rendez-vous à 15 heures. La découverte commence par l’espace muséographique en accès libre. On y admire une horloge astronomique réalisée de 1930 à 1952 par le Rémois Jean Legros à partir de pièces de Meccano.
Elle se poursuit par l’élément essentiel de la visite : la salle de projection hémisphérique équipée d’un projecteur astronomique ultramoderne, unique en France, muni de près de 7000 fibres optiques permettant de reconstituer un ciel étoilé très réaliste identique à celui observé dans la nature.
Nous sommes allongés dans de confortables fauteuils... La sieste va être bonne pour quelques-uns d’entre nous...
Notre conférencier nous fait voyager dans la pénombre, de planètes en étoiles, et nous fait découvrir les images des planètes réalisées par les sondes spatiales ou comprendre notre place dans l’univers. Le dispositif vidéo numérique H.D. complète le système afin de montrer les images les plus récentes de l’exploration spatiale et des dernières découvertes en astronomie.
Il est 16 h 45 et de nouveau nous reprenons le bus pour la Distillerie.
En plein coeur de la Montagne de Reims, la distillerie Guillon produit des vins fins ainsi que du whisky single malt.
Une charmante Demoiselle nous y attend.
L’eau de source est un élément important. La distillerie s'est donc installée naturellement à proximité de la matière première, une source d'eau. En plus d’eau il faut du malt, provenant de l’orge.
Macération, ensuite brassage en Août/Septembre, fermentation Octobre/Novembre et distillation en décembre/janvier.
La première étape de l'alchimie consiste à transformer, par fermentation, le malt en bière de malt. Puis cette bière sans houblon de 6 à 8 degrés passe par deux alambics de 750 litres chacun, « achetés d'occasion à une distillerie de la Forêt-Noire qui faisait du kirsch », pour former un « imparfait de malt » de 25 à 30 degrés volumiques.
Il est distillé une seconde fois dans un alambic de 300 litres. Le liquide blanc qui en sort atteint les 80 degrés. « On sépare la queue et la tête, vendues à l'industrie sous la forme d'alcool neutre ou à brûler, et on ne garde que le coeur de chauffe ».
L'ensemble est enfin dilué à l'eau de source, une première fois pour l'amener à 65 degrés, une seconde fois, au moment de l'assemblage en fûts quatre à cinq ans plus tard, pour le descendre à 40, 42 ou 46 degrés selon les trois produits élaborés par la distillerie marnaise.
Les fûts de chêne sont d'une importance capitale. Ils donnent cette couleur ambrée à un liquide qui ne serait sans eux que désespérément blanc. Thierry Guillon achète ces fûts de vieillissement près de Reims, ou alors en seconde main, en Bourgogne, préférant alors les fûts de blanc (Meursault), qui donne de la rondeur au whisky, aux fûts de rouge dont les tanins l'assèchent.
Un peu moins de 80.000 bouteilles par an sont vendues par une trentaine de commerciaux indépendants s'appuyant sur un réseau de près de 400 cavistes et sur les linéaires ouverts par nombre de grands distributeurs.
Nous terminons cette visite par une dégustation de ce breuvage de différentes années d’âge.
Personne n’est revenu « pompette », le service était millimétré.
Nous reprenons le bus qui nous ramène sur Sissonne, vers les 20 heures. Pas de problème, on arrive à temps pour « plus belle la vie »
Comme chaque année, nous sommes reçus par nos amis du club de Coucy-le-Château, au restaurant "Chez Jeannot" à Etouvelles. Repas convivial, gags à l'apéritif et après midi dansant.
Pour la première fois cette année, 23 de nos membres ont participé à la journée de transhumance organisée tous les deux ans.
Deux incontournables : voiture balai et presse.
8h30 mais où sont les moutons ? ils nous attendent dans leur parc.
Pourquoi ne pas profiter d'un petit plus ?
Moutons et marcheurs fatigués.
Ouf ! un bon bain avant le méchoui.
Sur le passage, La Selve nous encourage.
Arrivée au camp.
Quelques instants de repos.
Avant le dernier effort : un pot géant pour 400 moutons et 250 marcheurs.
Epuisés !
Vers la bergerie : vente de produits locaux.
Créé en 1980 dans une ancienne filature de 1863, consacrée à l'industrie de la laine peignée.
La filature a fonctionné de 1874 à 1978 et présente la chaîne complète de fabrication de la laine brute du mouton au produit fini.
Fabrication de torchons
L'écomusée possède la collection de machines textiles (1850-1970) la plus importante de France.
Une rue pavée du XIXe siècle est reconstituée avec ses échoppes, son école, son café.
La fusillade du 1er mai 1891 est évoquée, la troupe équipée de fusils Lebel tire sur la foule et neuf personnes sont tuées.
toujours à l'intérieur du musée...
Créé en 1980, il est installé dans l'ancienne verrerie Parant fondée en 1823.
Jusqu'en 1914, on y produit essentiellement des bouteilles de champagne "Veuve Cliquot", puis ensuite des flacons de parfum. En 1977, l'entreprise fermera.
Dans la halle aux fours qui date de 1893, subsistent deux fours à pots (un four Boétius installé en 1894 et un four Stein, semi-automatique en 1920).
Le four Boétius est fait de briques de terre réfractaire, renforcé de poutres et de cadres de fer. Les murs comportent 12 ouvertures pour y placer 12 pots ou creusets que l'on remplit de mélange vitrifiable et que le verrier va utiliser à la canne à souffler.
Six millions de bouteilles soufflées à la bouche étaient fabriquées annuellement.
Nous assistons à une démonstration de soufflage et au travail du verre.
C'est l'unique verrerie qui se visite.
Véritable lieu vivant dédié au verre, au coeur de l'Avesnois, le MusVerre est le seul en France, avec le musée des Arts Décoratifs de Paris, à balayer la création internationale contemporaine en verre, ouvert en octobre 2016.
Le bâtiment s'inspire de la forme géométrique du cristal de silice, matière originelle du verre, et est revêtu de pierres bleues du Hainaut.
La collection contemporaine concourt à la réputation internationale du musée. Elle rassemble des oeuvres d'artistes originaires du monde entier.
L'Hôtel des Invalides a été fondé par Louis XIV pour accueillir les vétérans et les soldats blessés.
Aujourd'hui, ce prestigieux bâtiment accueille toujours des invalides, mais également la cathédrale Saint-Louis des Invalides, plusieurs musées et une nécropole militaire avec notamment le tombeau de Napoléon Ier. Cet immense complexe architectural, conçu par Libéral Bruand et Jules Hardouin-Mansart, est un des chefs-d’œuvre les plus importants de l'architecture classique française. C'est l'un des 5 musées les plus visités de France. (Wikipedia)
Notre visite guidée continue au sein de la Salle royale, ancien réfectoire des Invalides avec ses impressionnantes peintures murales du XVIIe s. de Parrocel.
Nous y découvrons la prestigieuse collection d'armures.
Le dôme culmine à 110 m de haut.
<----- Le tombeau du Roi de Rome sous la protection de son père en empereur
romain.
Je veux que par une surveillance active